The Basis of Morality by Part 3 Chapter 8 Page 47

d�sob�ir � sa douce voix: c'est elle, qui d�tournera tout sauvage robuste d'enlever � un faible enfant, ou � un vieillard infirme, sa subsistence acquise avec peine, si lui m�me esp�re pouvoir trouver la sienne ailleurs: c'est elle qui, au lieu de cette maxime sublime de justice raisonn�e: “Fais � autrui comme tu veux qu'on te fasse;” inspire � tous les hommes cette autre maxime de bont� naturelle, bien moins parfaite, mais plus utile peut-�tre que la pr�c�dente: “Fais ton bien avec le moindre mal d'autrui qu'il est possible.” C'est, en un mot, DANS CE SENTIMENT NATUREL PLUT�T, QUE DANS LES ARGUMENTS SUBTILS, qu'il faut chercher la cause de la repugnance qu'�prouverait tout homme � mal faire, m�me ind�pendamment des maximes de l'�ducation.

Let this be compared with what he says in �mile, Bk. IV.